diff --git a/module3/exo1/analyse-syndrome-grippal.Rmd b/module3/exo1/analyse-syndrome-grippal.Rmd index bb2ea3a2c55c128ca88f3e95e9c7b911b27689df..35442750bf5105506ac369df48ed74485b395a7b 100644 --- a/module3/exo1/analyse-syndrome-grippal.Rmd +++ b/module3/exo1/analyse-syndrome-grippal.Rmd @@ -153,11 +153,13 @@ pic_annuel = function(annee) { ``` Nous devons aussi faire attention aux premières et dernières années de notre jeux de données. Les données commencent en octobre 1984, ce qui ne permet pas de quantifier complètement le pic attribué à 1985. Nous l'enlevons donc de notre analyse. Par contre, pour une exécution en octobre 2018, les données se terminent après le 1er août 2018, ce qui nous permet d'inclure cette année. + ```{r} -annees = 1986:2018 +annees = 1986:2022 ``` Nous créons un nouveau jeu de données pour l'incidence annuelle, en applicant la fonction `pic_annuel` à chaque année: + ```{r} inc_annuelle = data.frame(annee = annees, incidence = sapply(annees, pic_annuel)) @@ -181,6 +183,9 @@ head(inc_annuelle[order(-inc_annuelle$incidence),]) ``` Enfin, un histogramme montre bien que les épidémies fortes, qui touchent environ 10% de la population française, sont assez rares: il y en eu trois au cours des 35 dernières années. + +Nous observons aussi l'anomalie de l'année 2020-2021, à l'incidence anormalement basse, au moment de plusieurs confinements liés au COVID-19. + ```{r} hist(inc_annuelle$incidence, breaks=10, xlab="Incidence annuelle", ylab="Nb d'observations", main="") ```