diff --git a/module3/exo3/exercice.ipynb b/module3/exo3/exercice.ipynb index 0bbbe371b01e359e381e43239412d77bf53fb1fb..52824e891a6be9bc4777aebb493a0889e2b8c79b 100644 --- a/module3/exo3/exercice.ipynb +++ b/module3/exo3/exercice.ipynb @@ -1,5 +1,34 @@ { - "cells": [], + "cells": [ + { + "cell_type": "markdown", + "metadata": {}, + "source": [ + "# Estimation de la latence et de la capacité d’une connexion à partir de mesures asymétriques" + ] + }, + { + "cell_type": "markdown", + "metadata": {}, + "source": [ + "Un modèle simple et fréquemment utilisé pour décrire la performance d'une connexion de réseau consiste à supposer que le temps d'envoi T pour un message dépend principalement de sa taille S (nombre d'octets) et de deux grandeurs propres à la connexion : la latence L (en secondes) et la capacité C (en octets/seconde). La relation entre ces quatre quantités est ___T(S) = L + S/C___. Ce modèle néglige un grand nombre de détails. D'une part, L et C dépendent bien sûr du protocole de communication choisi mais aussi dans une certaine mesure de S. D'autre part, la mesure de T(S) comporte en général une forte composante aléatoire. Nous nous intéressons ici au temps moyen qu'il faut pour envoyer un message d'une taille donnée." + ] + }, + { + "cell_type": "markdown", + "metadata": {}, + "source": [ + "Nous allons estimer L et C à partir d'une série d'observations de T pour des valeurs différentes de S. Notre analyse commence avec la lectures des données brutes, disponibles pour deux connexions différentes, qui ont été obtenues avec l'outil ping." + ] + }, + { + "cell_type": "code", + "execution_count": null, + "metadata": {}, + "outputs": [], + "source": [] + } + ], "metadata": { "kernelspec": { "display_name": "Python 3", @@ -16,10 +45,9 @@ "name": "python", "nbconvert_exporter": "python", "pygments_lexer": "ipython3", - "version": "3.6.3" + "version": "3.6.4" } }, "nbformat": 4, "nbformat_minor": 2 } -